17 janvier 2011
Vice-Président du Sénat et Maire de Marseille
Ville d’échange et d’hospitalité ouverte sur le monde depuis plus de 26 siècles, Marseille est fière d’avoir été retenue par les Gouverneurs du Conseil mondial de l’eau pour accueillir le 6e Forum mondial de l’eau.
Elle mettra tout en œuvre pour que ses hôtes en fassent effectivement le « Forum des solutions », le carrefour où se définissent et s’adoptent les mesures permettant de répondre aux défis majeurs posés à notre planète quant à la gestion de cette ressource vitale entre toutes.
L’expérience de Marseille et de la Provence, en ce domaine, est exemplaire. Et ce n’est pas sans raison que les Provençaux ont développé au fil du temps une véritable culture de l’eau.
Car nous avons cruellement souffert dans le passé de l’aridité, mais aussi des caprices de la nature. Et depuis la décision du maire, Maximin Consolat, en 1849, d’alimenter Marseille en eau « quoi qu’il advienne, quoi qu’il en coûte », jusqu’à la mise en service en 2008 de « Géolide », la plus grande station d’épuration souterraine du monde, notre ville s’est dotée d’un savoir-faire et d’équipements dignes de ses ambitions.
Sans doute cette histoire et ce lien exceptionnels entre les Marseillais et l’eau ont-ils incité le Conseil mondial de l’eau à installer ici son siège voici quinze ans. Et nous sommes heureux, depuis, d’accompagner son développement, et fiers de l’autorité et de la reconnaissance internationales qu’il a acquises au service de la cause de l’eau.
En définissant les bases du programme du Forum de Marseille, les 17 et 18 janvier 2011 vont marquer une nouvelle étape d’importance dans cette dynamique. Je tiens à assurer ses participants de mon soutien le plus entier pour faire de ces deux journées une pleine réussite.
A ce titre, j’entends souligner le rôle fondamental des collectivités territoriales en matière de gestion de l’eau et de l’importance du processus des villes, initié voici deux ans, à Istanbul. Forte de treize jumelages et vingt-huit accords de coopération, Marseille est l’une des plus actives en Europe en matière de coopération décentralisée. Et je souhaite que le 6e Forum sache donner une large place a ces acteurs majeurs de la politique de l’eau « sur le terrain », que sont les villes.
Il m’apparaît de même essentiel que le rendez-vous de Marseille, en 2012, soit réellement un Forum citoyen. Et nous déploierons toute notre énergie pour y associer nos concitoyens, tant l’engagement de tous est indispensable pour faire de l’accès à l’eau pour tous une cause universelle du quotidien.
Vice-Président du Sénat et Maire de Marseille
Ville d’échange et d’hospitalité ouverte sur le monde depuis plus de 26 siècles, Marseille est fière d’avoir été retenue par les Gouverneurs du Conseil mondial de l’eau pour accueillir le 6e Forum mondial de l’eau.
Elle mettra tout en œuvre pour que ses hôtes en fassent effectivement le « Forum des solutions », le carrefour où se définissent et s’adoptent les mesures permettant de répondre aux défis majeurs posés à notre planète quant à la gestion de cette ressource vitale entre toutes.
L’expérience de Marseille et de la Provence, en ce domaine, est exemplaire. Et ce n’est pas sans raison que les Provençaux ont développé au fil du temps une véritable culture de l’eau.
Car nous avons cruellement souffert dans le passé de l’aridité, mais aussi des caprices de la nature. Et depuis la décision du maire, Maximin Consolat, en 1849, d’alimenter Marseille en eau « quoi qu’il advienne, quoi qu’il en coûte », jusqu’à la mise en service en 2008 de « Géolide », la plus grande station d’épuration souterraine du monde, notre ville s’est dotée d’un savoir-faire et d’équipements dignes de ses ambitions.
Sans doute cette histoire et ce lien exceptionnels entre les Marseillais et l’eau ont-ils incité le Conseil mondial de l’eau à installer ici son siège voici quinze ans. Et nous sommes heureux, depuis, d’accompagner son développement, et fiers de l’autorité et de la reconnaissance internationales qu’il a acquises au service de la cause de l’eau.
En définissant les bases du programme du Forum de Marseille, les 17 et 18 janvier 2011 vont marquer une nouvelle étape d’importance dans cette dynamique. Je tiens à assurer ses participants de mon soutien le plus entier pour faire de ces deux journées une pleine réussite.
A ce titre, j’entends souligner le rôle fondamental des collectivités territoriales en matière de gestion de l’eau et de l’importance du processus des villes, initié voici deux ans, à Istanbul. Forte de treize jumelages et vingt-huit accords de coopération, Marseille est l’une des plus actives en Europe en matière de coopération décentralisée. Et je souhaite que le 6e Forum sache donner une large place a ces acteurs majeurs de la politique de l’eau « sur le terrain », que sont les villes.
Il m’apparaît de même essentiel que le rendez-vous de Marseille, en 2012, soit réellement un Forum citoyen. Et nous déploierons toute notre énergie pour y associer nos concitoyens, tant l’engagement de tous est indispensable pour faire de l’accès à l’eau pour tous une cause universelle du quotidien.
